Ainsi le moi peut par cette explication s’identifier à la persona, en relation Gwyneth paltrow 619 mots | 3 pages. Shakespeare in Love de John Madden. Cette consécration professionnelle coïncide dans le temps, avec sa rupture d'avec Brad Pitt. Convoitée par les duos Michael Douglas / Viggo Mortensen dans Meurtre parfait et Jude Law / Matt Damon dans Le LeDeal du moment : -53% GTA THE TRILOGY – The Definitive Edition Jeu PS4 Voir le deal. 27.96 € LA NUIT AMERICAINE :: VOTRE AVIS :: FILMS :: THRILLER/ POLAR/ SUSPENSE : Le talentueux Mr. Ripley : 2 participants. CETTEPIÃ?CE laisse perplexe.Elle est inspirée d'un roman de Patricia Highsmith, écrivain de talent qui manie l'effroi avecdélice et reste cash. En remplaçant son ami pianiste Tom Ripley et en se faisant passer pour lui par la même occasion, un jeune homme rencontre le richissime Herbert Greenleaf. Ce dernier remarque sa veste qui porte le sigle de la même promotion de Princetown que son fils Dickie Jude Law. L’homme sans nom, qui se fera désormais appeler Tom Ripley, ne peut s’empêcher de mentir et de faire comme s’il avait connu Dickie par le passé. Début d’un cercle vicieux puisque le père de ce dernier va lui demander de retrouver son fils oisif en Italie et de le ramener le plus vite possible. Il offre 1000 dollars de récompense à Tom et couvrira tous ses frais. Face à une si belle opportunité, le jeune homme ne peut se permettre de refuser et continue de creuser son mensonge. Une fois débarqué en Italie, Tom retrouve Dickie et sa fiancée Marge Gwyneth Paltrow. Un couple beau et bourgeois, qui passe son temps à profiter de la vie. Dickie et Tom deviennent rapidement de bons amis, très complices. Mais alors que progressivement Dickie prend ses distances, traîne avec son autre ami, Freddie Philip Seymour Hoffman, Tom développe une jalousie excessive. Cela ne sort pas de nulle part il brûle de désir pour Dickie, aime sans doute un peu trop tout chez lui sa beauté, son train de vie…. Après le suicide d’une de ses maitresses, la relation entre Dickie et Tom se dégrade et laisse finalement place à la haine. Emporté par la colère, Tom tue son camarade alors qu’ils sont en mer. Commence alors pour lui une double vie il va tenter de voler l’identité de son défunt ami et mener une existence de plus en plus dangereuse, à la limite de la schizophrénie. Nouvelle adaptation de l’œuvre de Patricia Highsmith après le très réussi Plein Soleil, Le talentueux Mr Ripley n’est pas un simple remake du film de René Clément, mais plutôt une lecture différente et plus fidèle même de l’œuvre originale de l’écrivain. On ne peut toutefois pas s’empêcher de comparer les deux longs-métrages. On dira que Plein Soleil est nettement supérieur du côté de la réalisation. En effet, Anthony Minghella , un peu trop dans l’air du temps et donc facilement démodable, accumule les effets faciles dont une musique parfois trop lourde. La mise en scène un peu sage, manquant de personnalité, est le gros reproche que l’on pourrait faire à cette version américaine. Mais il y a également beaucoup de choses positives voire supérieures à l’adaptation française. En effet, Le talentueux Mr Ripley est beaucoup plus proche de ses personnages, creuse leur psychologie et rend chacun particulièrement ambivalent. Tom Ripley est assurément un sale type mais il est aussi souvent montré comme une victime voire comme la victime du film. Dénigrant sa propre personnalité, convaincu que tel qu’il est il sera toujours un bon à rien, il se perd dans le mensonge et la manipulation, parfois même de façon inconsciente. Et il entraîne tous ceux qui l’entourent dans sa cave intérieure », son enfer. Dickie ne se révélant pas être l’ami, le frère voire l’amant qu’il espérait, Tom le tue. Obsédé par l’idée de devenir quelqu’un », pour sauver les apparences, Tom se met lui-même en contradiction avec ses désirs. Alors qu’il rencontre un autre homosexuel, Peter, que ce dernier tombe amoureux de lui dès le premier regard, Tom ne peut s’empêcher de mentir, de jouer à un double jeu, tentant de séduire Marge ou la faussement amère et dupe Meredith Logue interprétée par Cate Blanchett. Le final, habile, entre déclaration d’amour et condamnation, nous montre un homme perdu, qui peu importe la suite, ne pourra plus jamais faire la paix avec lui-même. Jusqu’où peut-on aller pour suivre un idéal, pour atteindre un modèle de réussite ? Jouant sur la fragilité et les désirs égarés des protagonistes, sensible, Le talentueux Mr Ripley émeut et passionne. Le film de Minghella et celui de René Clément sont donc tout à fait complémentaires et procurent des sensations et émotions distinctes. Film sorti en 2000. Disponible en DVD et sur Netflix Fiche identité Titre du livre Le talentueux M. Ripley Auteur Patricia Highsmith Nombre de pages 318 Édition Le livre de poche Résumé Tom Ripley est contacté par M. Greenleaf, un riche homme d’affaires. Ce dernier lui propose d’aller en Europe voir son fils Richard – pour qui il est une vague connaissance – afin de le convaincre de rentrer aux Etats-Unis. Tom arrive sur place et se lie d’amitié avec Dickie, mais un plan machiavélique commence à se former dans sa tête. Avis Voici un livre qui se situe à la frontière de plusieurs genres on le qualifie de roman policier mais je trouve qu’il tend plus sur l’analyse psychologique du principal personnage principal qui est Tom Ripley. Alors qui est-il et pourquoi daigner à s’intéresser à lui pendant trois cent pages ? C’est un jeune homme fade qui vit de petites arnaques sans grande conséquence. Sa rencontre avec M. Greenleaf va donner un nouvel essor à sa vie un voyage tout frais payé en Italie pour convaincre Dickie de revenir aux États-Unis. Tom essaie de gagner l’amitié de Dickie mais ces tentatives sont floues, empreintes parfois d’une pointe d’homosexualité. Marge, une amie de Dickie ne l’apprécie guère. Finalement, les deux se détachent lentement de lui. C’est ainsi que germe dans son esprit l’idée de tuer Dickie. On sent ici le poids d’une double personnalité. Être Dickie pour Tom c’est avoir de l’argent, de l’assurance dans ses manières, de l’arrogance, mener cette vie dorée dont il rêvait tant en voyageant dans toute l’Europe. Redevenir Tom c’est être le petit gars effacé, amer et sans le sou d’avant. Pourquoi donc ne pas désirer ce changement quel que soit le risque à courir ? A mes yeux, Tom est un personnage étrange et troublant. Est-il aussi manipulateur qu’il le prétend ou bien les circonstances ont-ils joué en sa faveur ? Il y a eu quand même deux ou trois dérapages qui ont failli le perdre, si ce n’est l’aveuglement et la stupidité de la police italienne, des amis et de la famille de Dickie. En somme je trouve que le mécanisme qu’il a utilisé est simple, dangereux même et seule sa chance inouïe l’a préservé. Moi qui m’attendais à un scénario incroyable, j’ai l’impression que la réputation de ce roman est un peu surfaite. Le style d’écriture est agréable mais il y a quand même quelques longueurs qui viennent étouffer le suspens. L’auteur étire au maximum son récit, développe de long en large la personnalité de Tom et ses actes et pensées mais c’est long. Bon, c’est une lecture moyenne, pas très palpitante. Bof, sans plus quoi ! 29 mars 2014 6 29 /03 /mars /2014 1354 Le talentueux Mr Ripley est un drame ayant raflé un joli nombre de récompenses en 2005, en ayant la particularité d’axer son portrait sur une élégante forme de personnalité, constamment dépendante de ceux qui l’entourent, et que les intentions strictement empathiques de départ finissent par transformer en une sorte de vampire de personnalité, maquillé sous des airs de thrillers identitaires. L’histoire Tom Ripley au cours d’un concert où il usurpait l’identité d’un autre élève, se voit confier une mission par une riche famille retrouver leur fils millionnaire Dickie Greenleaf, qui refuse de repartir d’Europe, où il mène une vie aventureuse avec sa fiancée. Il est vraiment très intéressant de se pencher sur le cas du Talentueux Mr Ripley, car c’est un immense portrait qui en est fait, légèrement biaisé, mais redoutablement précis de son personnage central. Tout s’articule autour de lui, et son principal trait de caractère est finalement de vivre entièrement par les autres, essentiellement par les personnages masculins qui l’entourent. C’est une sorte d’homosexualité complètement désexualisée tout a été évacué à ce niveau, où Tom étudie les personnalités qui l’entourent et cherche à se formater pour faire fonctionner au mieux les relations qu’il entretient avec ladite personne. Ici, l’idée est poussée à l’extrême, avec le suivi incroyablement détaillé de sa relation avec Dickie Greenleaf. Il se fabrique une passion pour le Jazz afin de se rapprocher artificiellement de Dickie, et se livre totalement à lui, révélant au grand jour son attachement violent à sa personne. Ce qui gêne à la longue ceux qui l’entourent, car ils se sentent prisonniers de cet attachement, lentement consommés par ce beau Tom Ripley qui les singe avec talent, agissant comme un miroir et leur renvoyant ce que lui-même voit. Aussi, quand survient la douleur des disputes et de l’éloignement, il n’a à leur reprocher que leur désintérêt des autres, qu’il assimile à une forme d’égoïsme. Tom Ripley refuse totalement la vie telle qu’elle se déroule, l’impossibilité de la figer, et donc ressent avec cruauté chaque éloignement comme une défaite majeure. Là où le film passe un cap, c’est dans l’usurpation d’identité. Passé le meurtre, le film se transforme en jeu de rôle où Tom jongle avec différentes identités, et où le film s’articule alors comme un thriller sur le fil du rasoir la moindre erreur pouvant faire effondrer le mensonge comme un jeu de carte. Car finalement, c’est un film sur le mensonge à grande échelle. Tom Ripley est un menteur né qui ne semble vivre que pour vampiriser ceux qui l’entourent, et s’y attacher comme du lierre autour d’un arbre. En cela, je trouve l’angle de vision du film un peu biaisé, par si les effusions sentimentales sont sincères, Tom Ripley est bien un monstre, dans sa tragédie car il l’ignore, et que son entière personnalité semble vouée à faire le mal en souhaitant amour et fusion mentale. Tom Ripley dont le nom ne prête pas à confusion, c’est le phagocytage total d’une personnalité, quelqu’un qui n’emporte rien de personnel dans la vie les goûts de son intérieur quand il réaménage les lieux sous l’identité de Dickie pour chercher la nourriture spirituelle dont il se repaitra quelques temps. Mais chaque relation est vécue puissance 10, sans le moindre recul ni regret. C’est indéniablement ce qui fait la force du film, cette proximité avec le personnage et son ressenti sincère, un magnifique exemple de portrait, à la fois psychologique et émotionnel. En rajoutant à cela une splendide direction artistique et de belles séquences de cinéma le morceau de Jazz, l’escale en voilier glauque, Le talentueux mr Ridley a mérité son statut d’œuvre incontournable, démontrant une nouvelle fois les talents d’acteur de Matt Dammon. 5/6 1999 de Anthony Minghella avec Matt Damon, Jude Law Published by voracinephile - dans Drame chanter sous la pluie

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